Il mettait au-dessus de sa tête angélique deux petites ailes courtes, légères et blanches, le bonnet d’Yvonne.
Yvonne était blonde, avec des yeux très bleus et un visage pâle, pâle comme le visage de ces madones en cire qu’on voit dans les églises de village, enfantines et anciennes, sous des globes de verre.
Oui, elle avait l’air d’une sainte mystique, la douce et blanche Yvonne, et c’est pour cela que Jacques l’avait aimée.